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lundi 1 novembre 2010

L'eau du robinet

Eau radioactive, chargée de médocs, de pesticides, de nitrates, d'aluminium, tchin !

Merci "Canutes" pour ce post... Du coup, cela entraîne vers dix vidéos... Effrayant.
Si vous n'avez pas déjà vu l'émission, ne les ratez pas si vous avez deux heures devant vous. Sinon, voici un "digest" -si l'on peut dire!- : radioactivité jusqu'à 250 000 bq en Auvergne, pesticides et nitrates en Beauce -entre autres-, médocs -oestrogènes notamment, ce qui féminise les poissons... et les hommes-- en région parisienne, mais aussi neuroleptiques, anti diabétiques* etc... aluminium  -qui favorise la maladie d'Alzheimer- à des doses énormes ailleurs** etc... le clou c'est la mention préfectorale : "eau potable PAR DEROGATION" c'est-y-pas beau ? Ce qui veut dire qu'elle ne l'est pas mais qu'on fait comme si elle l'était... provisoirement, le "provoisoire" pouvant durer dix ans ou plus, l'administration a ses délices sophistiques...  et buvez... mais quoi? Les eaux dites minérales -surtout en bouteilles en plastique- ne sont pas exemptes de particules et autres saletés fort peu recommandables... Allez, courage, tchin.
http://www.youtube.com/watch?v=Uh34M8qXfrM

* Rien ne se crée, rien ne se perd : on boit donc de la pisse et de la merde retraitées -et mal-. Le voisin avale des médocs, puis pipi-caca, droit à la rivière, vite vite à la station d' "épuration" -mal nommée-... qui fait ce qu'elle peut...  javelise généreusement pour finir... et on n'a plus qu'à ouvrir le robinet pour faire le thé, l'eau est prête. Rien n'est prévu pour ces molécules qui passent gaiement les filtres... qui ne sont pas faits pour elles mais pour les "gros morceaux" si j'ose. Pas de panique, un peu, ça va... Mais imaginez, avec la surconsommation, au bout de quelques années de pipi-caca aux hormones, à la cocaïne -surtout si on a pour voisin un genre Delarue-  aux antidépresseurs ou au LSD ? D'ici combien de temps aura-t-on des réactions bizarres après "boire" ?
** Inquiétant : une des ces vidéos comprend l'interview d'un chercheur dénonçant courageusement les risques de l'aluminium (doublement des risques de la maladie d'Alzeihmer car il se concentre dans le cerveau dit-il) surtout aux taux importants en certains endroits... chercheur qui, ensuite devant les caméras de télé, ô stupeur, va tenir un tout autre discours, genre "le lien n'est pas prouvé... c'est juste une étude, on ne peut rien en tirer de probant etc..." Que s'est-il passé entre temps? Selon un confrère, un coup de fil de Kouchner -c'est pas beau Bernard de faire ça-. "Sinon, je pouvais me brosser pour mes subventions l'an prochain." Et pour faire tourner un laboratoire... il en faut. Et voilà. HL

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